Un titre d’article qui pète, non ? C’est vrai c’est sexy, et pourtant je calme l’ambiance tout de suite : cette grande annonce implique autant de positif que de doutes, j’ai donc souhaité vous en parler en partie pour casser l’image un peu trop parfaite que peut avoir cet effet d’annonce comme j’ai pu le constater dans mon entourage ces dernières semaines ! Même si je poste de jolies photos je veux pas vous faire croire que ma vie est uniquement un feed instagram parfait car ce n’est pas le cas, elle est pleine de hauts et de bas, juste peut être de plus grands hauts et de plus grands bas depuis que je me lance de grands défis !
Je reçois beaucoup de questions sur mon expérience d’entrepreneure et sur ma vie tout court face aux nombreux événements qui se produisent en ce moment, et je me rends compte que je suis très pudique sur le fait d’exposer ma vie personnelle en général. Je n’ai pas pour habitude de me confier vraiment ni dans mon blog ni sur insta où je parle en fait très peu de moi même. Je vous parle de mode éthique, de cosmétique naturelle, de développement durable, de yoga, de voyages, de produits et initiatives que j’aime, de plein de choses… mais parler de moi, c’est pas facile. Peur de me dévoiler et de me fragiliser, moi qui ait une si grosse carapace ! Et parler de soi si l’on veut être sincère, c’est parler du positif, aussi bien sûr parler du négatif. Mais comme tout le monde, on préfère garder le négatif pour soi. La peur, les échecs, la tristesse, tout ça est tabou en cette époque d’injonction au bonheur ! Pourtant, je crois fermement que la vie est faite de cycles, les cycles plus sombres permettant d’apprécier les cycles plus positifs, c’est l’équilibre naturel des choses alors pourquoi s’en cacher et faire comme si ça n’existait pas ? Les peurs et les échecs tout comme les réussites font partie intégrante des plus beaux chemins de vie !
Parler de soi
Je ne suis pas du tout à l’aise avec le fait de parler de moi en public, que ce soit ici, sur instagram ou même dans la « vraie vie ». Je crois que je suis en fait assez pudique et parler de moi me me semble tout simplement prétentieux. D’ailleurs, je ne vous cache pas que je suis toujours super mal à l’aise face à ceux qui n’ont aucune gêne à le faire et s’exposent parfois jusqu’à l’obscénité. Franchement, on s’en tape… Moi en tout cas, je m’en fous, ça ne m’intéresse pas. J’aime suivre les gens qui ont des choses à m’apprendre, pas des gens qui s’exposent juste pour s’exposer. C’est vide, comme si je regardais une télé-réalité. Il y a des gens qui adorent, pourquoi pas il faut de tout pour faire un monde, mais c’est pas mon cas. J’ai besoin de matière, de contenu, de sortir enrichie de la lecture d’un blog ou d’un compte instagram, que ce soit de nouvelles connaissances, de nouvelles pistes de réflexion, d’émotions, d’inspiration !
Bref, sur les blogs, sur les réseaux sociaux comme dans la vraie vie, les déballages narcissiques me gênent et j’apprécie les gens qui ne m’imposent pas leurs états d’âme à tout bout de champ. J’ai également remarqué que (en toute logique), je ne m’entends pas avec ce type de personnes. J’aime les gens élégants et sereins dans leur attitude et leur rapport aux autres, qui n’ont pas besoin d’en faire des caisses pour avoir le sentiment d’exister. Les gens à la curiosité bienveillante, qui apportent une énergie positive. Qui n’attendent pas impatiemment qu’on ait fini notre phrase pour qu’ils puissent enchaîner sur « moi je… »… Non, vraiment rien à faire, je suis allergique à ce type de personnes !
À partir de ce constat, vous comprenez sûrement mieux pourquoi je parle si peu de moi !
Pourtant je reçois pas mal de questions relatives à ma création d’entreprise, à mon crowdfunding, a ma situation si particulière, parfois aussi à mon passé d’étudiante 100% indépendante sans aucun soutien familial depuis que j’en ai parlé sur instagram, mon rapport au yoga, mon végétarisme, ma zébritude, ma misophonie et ma misokinésie, le fait que je vive désormais entre Paris et les États-Unis, parfois des questions toutes bêtes mais toutes légitimes… plein de questions super variées auxquelles je réponds volontiers, et savoir que ça peut aider même un tant soit peu quelqu’un dans une situation similaire me remplit de satisfaction !
Certaines personnes me touchent énormément en me disant même qu’elles me trouvent inspirante. Ça me va droit au cœur et me booste dans les moments d’angoisses et de gros doutes. C’est très précieux !
Ainsi, moi qui n’osais pas le faire, j’ai fini par réaliser que vous parler de mon expérience et de mon ressenti vis à vis de toutes mes expériences passées, actuelles et à venir, cela pouvait effectivement intéresser voire aider d’autres personnes. Par exemple, partager mon expérience pro pourrait aider d’autres entrepreneur.es confronté.es à des problématiques similaires, y compris comment je gère tout cela émotionnellement et sur un plan plus perso. Bref, j’ai fini par comprendre que je pouvais parler de moi de manière plus privée ET que ça pouvait avoir un sens, une utilité. Grosse révélation ? alors c’est parti, je me lance, au sujet aujourd’hui de ma vie entre Paris et la Californie !
Tonnerre de Zeus et Space Mountain
Vous l’avez sûrement vu passer sur mon compte instagram… Ma vie, en ce moment c’est les montagnes russes. Et pas les petites de la fête foraine hein, les vraies, genre Tonnerre de Zeus et Space Mountain à la suite. En quelques mois ma vie a radicalement changé, un peu comme si le destin était intervenu en disant « meuf c’est le moment de faire le saut de l’ange, à la une à la deux à la trois » et qu’il m’avait poussée les yeux bandés sur l’autoroute pour voir comment je m’en sortirais !
Créer sa boîte seule et presque sans argent de côté
Pour résumer, je viens de créer mon entreprise Yogamatata en France, je travaille dessus depuis bientôt 2 ans et je bénéficie en parallèle du maintien de mes allocations chômage (j’avais fait une rupture conventionnelle avec ma boîte). J’avais très peu d’argent et aucun soutien ni réseau familial, je me suis donc lancée seule en mode kamikaze avec 2000 euros de côté et le soutien psychologique et parfois financier de mes proches amis et de mon copain et le réseau que j’ai développé par moi même au fil des ans, des rencontres et des expériences vécues. Depuis le mois de mars, mon projet s’est concrétisé avec une campagne de financement participatif à grand succès. JOIE, bonheur intense et satisfaction de ne pas avoir travaillé un an et demi sur ce projet pour rien, de trouver un écho à ce projet en lequel je crois si fort… Pour autant, depuis lors je travaille comme une acharnée pour transformer cette somme récoltée sur ulule en une réalité concrète, mon projet étant infiniment plus difficile à lancer que ce que j’avais imaginé, le secteur ayant des problème d’éthique bien plus gros que ce que j’avais cru (oui je suis naïve, je le réalise, mais heureusement je suis bosseuse et téméraire !).
Yogamatata, est l’un des plus gros challenges que j’ai eu à affronter dans ma vie (le plus gros ayant été d’être 100% indépendante depuis et durant mes 7 ans d’études. J’en parlerai plus en détail un jour car ça m’a également été demandé !). Et pourtant bien que j’aie déjà un passif de guerrière et que j’aie réussi à m’en sortir plutôt très bien, créer ma boîte me cause pas mal de cheveux blancs ! C’est déjà en soi une belle montagne russe en soi… Et attendez c’est pas fini ! Ce serait vachement trop simple sinon ?
Se faire jeter par sa proprio alors qu’on vient de se lancer dans la création de sa boîte
Au même moment, ma propriétaire a vendu l’appartement dont j’étais locataire depuis 7 ans, pour financer les études de sa fille (quelle ironie vu mon histoire personnelle, j’espère que la petite se rend compte de la chance qu’elle a !). Alors là, va trouver à te reloger à Paris ou même en banlieue quand tu es au chômage et que tu viens de lancer ta boîte : Mission tellement impossible que même Tom Cruise y arriverait pas. Déjà avec un CDI c’est super compliqué… Ouais, vraiment, c’était le pire moment pour me faire mettre dehors. Demander un logement social ? Illusoire, il y en a si peu… j’essaie pourtant, en vain. Déjà que j’ai jamais réussi à accéder à un logement social ou même à un foyer étudiant quand je vivais avec pour seul revenu un mi-temps au smic en parallèle de mes études à Paris et que je devais donc me loger comme tout le monde dans le parc privé tout à fait inabordable, c’est pas maintenant que j’aurai plus de chances, il y a 10 ans d’attente en moyenne à Paris et je ne suis pas du tout prioritaire.
L’autre bout du monde
Et comme si ça ne suffisait pas au tableau, mon copain a été muté en Californie. Putain, la Californie quoi. Je suis fan des Red Hot Chili Peppers depuis mon adolescence et j’ai toujours rêvé d’y aller… Incroyable opportunité de carrière pour lui où il prend la direction de la filiale américaine de sa start-up. Il m’a dit cette phrase trop mignonne « Je pars pas sans toi », mais ça aurait été fou de sa part de refuser.
Je me retrouve donc au même moment sans logement et sans possibilité d’accéder à un nouveau logement dans ma ville au vu de ma situation de chômeuse-entrepreneuse, entrain de créer une boîte certes prometteuse et qui me passionne mais qui en est encore au stade épuisant où il n’y a que des dépenses, des problèmes à régler et aucun salaire à espérer pour le moment, et avec mon mec qui part à l’autre bout du monde et moi qui lui dis « tu dois y aller !!! ». Alors bon, rassurez vous il en avait très envie je l’ai pas poussé, au contraire je voulais pas qu’il refuse le poste à cause de moi qui suis entrain de lancer ma boîte en France et qui suis donc au pire moment pour quitter la France. Sérieusement, ça fait bien 6 ans que je dis que j’en ai marre de Paris et que je veux me barrer, et c’est finalement au moment où j’y lance ma boîte que la vie me jette en dehors de Paris par tous les moyens possibles ? Sérieusement ? Mettre mes nerfs autant à l’épreuve c’est pas sympa !
Go with the flow
J’ai bien réfléchi et je me suis dit « Hé bien, laissons nous porter par le courant ». Puisque le destin semble me pousser en dehors de Paris et que la Californie est un temple du yoga, après tout, pourquoi pas envisager que ce qui se présente comme un obstacle au lancement de mon entreprise et le transformer en potentielle opportunité ?
Je crois de plus en plus que les choses n’arrivent jamais tout à fait par hasard. Et donc pourquoi pas tenter de passer beaucoup de temps là bas, pour m’enrichir de découvertes et de nouveaux apprentissages, et pour ressentir l’énergie d’une des très rares villes au monde où il y a un studio de yoga à chaque coin de rue, ville qui a aussi vu naître le mouvement hippie et les premiers mouvements écologistes, et qui est encore aujourd’hui tellement en avance par rapport à la France sur tous ces sujets ?
J’ai réfléchi à comment mettre en place les choses pour que cette situation dingue et stressante devienne un tremplin vers de nouvelles opportunités. Petit à petit, j’ai trouvé des bribes de solutions et j’ai fini par réussir à construire en quelques mois ce qui semble se présenter comme quelque chose de pas si mal !
« Un problème, une solution » !
C’est une phrase que je dis tout le temps ! J’ai décidé de faire gérer les stocks et les envois de yogamatata par un logisticien afin de me libérer complètement de tout impératif de présence physique en France.
Je serai donc chez mon copain en Californie aussi souvent que possible, selon ce que permettent les visas, et je peux presque tout gérer à distance. Je n’ai pas le droit de travailler ici et de toute façon Yogamatata n’a actuellement pas d’ambitions ailleurs qu’en France dans un premier temps, mais qui sait ce que l’avenir réserve !
Une amie est entrain de me rejoindre sur la gestion de Yogamatata cela permettra non seulement de me décharger un peu de l’énorme quantité de travail que j’ai mais également qu’il y ait toujours l’une de nous deux en France !
Alors oui, il y aura les aller retours et le jet-lag, mais je ne suis pas du tout sensible au décalage horaire (je n’ai pas vraiment de rythme naturel alors en 24h je suis calée sur le nouveau rythme !). Il y aura aussi la distance, et le fait que je serai tout de même la majorité du temps en France, et mon copain aux États-Unis. Une relation à demi-distance, donc, que j’appréhende un peu.
Jusqu’ici tout va bien
Tout ça, c’est à la fois génial, ultra excitant et plus ou moins ce dont je rêve depuis des années, et à la fois extrêmement angoissant. Cela fait un an et demi que jetravaille très dur pour lancer Yogamatata, que j’y mets tout mon temps, mon énergie et le peu d’argent que j’avais mis de côté. Je me suis même pas complètement lancée, je n’ai pas encore livré mes pré-ventes, Yogamatata est très fragile et j’ai peur que cette distance fragilise encore plus mon projet dans sa phase cruciale de lancement..
Je me rassure en me disant que la plupart du travail peut se faire à distance, et en faisant régulièrement des aller retours je peux gérer ce qu’il y a à faire en France,et heureusement que mon amie rejoint le navire. Mais franchement ça reste un peu suicidaire, quand j’y pense. Ouais, vraiment, ça pourrait grandement handicaper le lancement de ma marque, tout ça…
Mais d’un autre côté… La Californie est aussi une opportunité incroyable pour mon projet. J’emmenage à l’autre bout du monde, certes, mais dans la région du monde idéale pour Yogamatata !
Alors, au final ?
Je vais pas me plaindre, ce serait obscène, mais j’ai conscience des points faibles de cette situation. Je me dis qu’il n’y a pas d’opportunités sans risques, puis ça fait déjà des années que je dis à tous mes potes que Paris me saoule et que j’ai grave envie de me barrer. Du coup, tous mes potes me disent « Mais ta vie va être trop sexy !!! » et bien sûr, ils ont pas tort ! Nous serons basés à Berkeley, juste en face de San Francisco de l’autre côté de la baie.
Le climat y est plus chouette (il paraît qu’il y a un microclimat de brouillard perpétuel au dessus de San Francisco et que dès qu’on traverse le pont, on gagne 5 degrés et du soleil).
De mon côté j’ai trouvé un petit pied à terre à Paris en colocation avec Gilles, un génial jeune de 72 ans avec qui je m’entends à merveille et qui est là 3 à 4 mois par an. Quand je serai à Paris, c’est là que je vivrai. C’est important pour moi de garder un « chez moi » où je peux laisser mes affaires pour mes séjours à Paris qui seront nombreux pour Yogamatata !
Et si vous avez des conseils et des astuces pour moi, ou tout simplement des recommandations de choses à voire/faire/découvrir dans la baie de San Francisco, je prends 😉
Plein de bisous à toi qui as pris le temps de me lire jusqu’ici,
x Ondine x
Un petit t shirt en lin parfait pour l’été 100% made in Europe y compris la matière première, par Kipluzet ! Ce long week-end à la campagne était l’occasion parfaite pour dégainer ce nouveau top éthique absolument parfait pour l’été, un super joli basique ! Il vous plaît ?? .
18 Comments
Moi je vous dit bravo, vous êtes sortie de votre zone de confort et cela paiera un jour, faites vos demandes à l’univers et surtout il faut y croire!
j’ai 65 ans depuis quelques jours mais j’ai aussi vécu de grandes aventures, parties à 20 ans aux usa fille au pair, j’y suis restée 11 ans , quelques années plus tard en route pour le Japon avec peu de moyens aussi, y suit restée 8 ans…… maintenant je suis de retour en Belgique, j’ai élevé ma fille seule, elle va prendre son envol bientôt elle est maintenant médecin, une nouvelle page pour elle et pour moi
je vais rester attentive aux signes que la vie va m’envoyer et qui sait où cela me mènera….
a bientôt au plaisir de vous lire
Merci pour votre commentaire si touchant Christine ! Je pense en effet que pour vivre sa vie pleinement il faut sortir de sa zone de confort… Je rêve de visiter le Japon, j’ai des origines lointaines de ce pays… Bientôt j’espère !
C’est pas toujours facile mais il faut se lancer de grands défis dans la vie pour réussir ? C’est toujours mieux que rester dans son canap ? Et même si c’est pas facile tous les jours ça va être une grande réussite j’en suis sûre !
Pourvu que tu dises vrai…. 🙂 Merci pour ton commentaire et j’espère que tes paroles seront prophétiques 😀
Hello Ondine!
Je suis tellement d’accord avec toi quand tu dis qu’a chaque problème il y a sa solution ! Je te souhaite de réussir dans tous tes projets , tu as l´air d’être une battante c’est top !
Ah ça pour être une battante… je pense que je pourrais survivre à une attaque de zombies mutants radioactifs 😀 Merci pour tous tes encouragements ma jolie !!
Hello ma belle !
Que ce soit la première partie de ton article ou la deuxième, il est génial ! Merci de te confier à nous comme ça, tu as pris une décision qui demande force et courage, tu y arriveras !
Profite tout de même de ce que la Californie a à t’offrir, malgré la difficulté de la situation ♡
Hâte de suivre tes aventures !!
A bientôt ?
Merciiii c’est trop gentil…. ça me motive grave tous vos gentils mots ! Je t’envoie plein de bisous américains ma belle 🙂
Ton article – et ton histoire – sont passionnants ! C’est pour moi qui a 56 ans n’ai jamais trop osé sauter le pas lorsque les occasions se sont présentées (opportunité de suivre mon amoureux du moment à New York quand j’étais étudiante, puis opportunité d’aller enseigner aux Canaries puis à Madrid, ou encore opportunité de suivre mon mari au Brésil où il partait travailler… j’’ai toujours eu la trouille au dernier moment alors tu penses si je t’admire! En plus … San Francisco quoi! (pas une petite ville paumée du fin fond du Texas)!!!
Fonce ça va marcher ! Et surtout raconte nous tout!
Grosses pensées positives !
Ohhhh ton message me touche beaucoup, d’autant plus que je suis tout de même un peu flippée par tout ça comme tu l’as lu ! J’imagine qu’on fait les choix qu’on estime être les meilleurs en son âme et conscience sur le moment… Alors il n’y a pas à regretter, juste à avancer, que ce soit positif ou négatif… c’est ce que je me dis 🙂
Bises !!!
Coucou Ondine,
J’ai suivi ton aventure sur IG. C’est super ce qui t’arrive malgré les doutes!
Tu as raison de te laisser porter!
Bonne chance dans ton entreprise
Bisous
Maryline
Merci… Ca fait plaisir tous ces gentils mots !
Bises :-*
Mais quel beau projet !!!! J’ai pris un plaisir fou à lire ton article et je te souhaite vraiment que du bonheur dans ce beau projet !! Les galères par lesquelles tu passes en valent la peine, j’en suis certaine.
Alors force à toi et longue vie à ta petite entreprise ??
Wahouuu je suis trop touchée par ton commentaire ! Merci… J’espère que ce que tu dis s’avèrera vrai !
Bises :-*
O lalala quelle décision !!
Chapeau pour ce beau projet et ce courage !
Prendre des risques nous force à sortir de notre quotidien et de notre zone de confort !! Quoi de plus motivant ???
Bravo ?
Merci pour ton message motivant !!! Ca me booste toujours de lire ça !!! Bises 🙂
Bonjour,
Découverte de votre blog ce matin au p’tit dej, vraiment par hasard ! (ma recherche initiale était sur le papier ensemencé…^^)
Après réflexion, je me suis dit que je ne pouvais pas fermer le blog (après une mise dans les favoris bien sur!) sans mettre un petit mot, pour dire merci concernant cet article, c’est un super boulot ! Bonne continuation pour la suite 🙂
Oh merci je suis très très très touchée !!!! À bientôt sur le blog ou sur instagram alors 🙂